Étude de Récolement et Structure des Espèces en Agrégat Exploitées par ELEMENTS KITENGE LOLA (CCF 015/18) : Cas de Gilbertiodendron dewevrei (De Wild) J. Leonard, Julbernardia seretii (De Wild.) Troupin et pericopsis elata (Harms) V. Meeuwen ; en RD Congo
DOI:
https://doi.org/10.5281/zenodo.15072725Keywords:
Récolement, Agrégation, Exploitation Forestière, Gilbertiodendron dewevrei, Julbernardia seretii, pericopsis elata et RD Congo.Abstract
La présente étude analyse le récolement du stock et la structure dendro-spatiale de trois espèces en agrégat Gilbertiodendron dewevrei (Limbali), Julbernardia seretii (Alumbi) et pericopsis elata (Afrormosia) exploitées en RD Congo par KILO15 ; dont L'objectif principal est de comprendre l'effet de l'exploitation forestière sur ces espèces clés et d'établir des recommandations pour une gestion durable ; Les supports papiers et support numérique dont le logiciel de traçabilité interne « WoodTS » ont constitués les données primaires et secondaire, puis le suivi-Evaluation interne par l’agent de contrôle d’Exploitation a été appliqué, la compilation et analyse des données sous tableur Excel et le logiciel Past, dont le résultat partant de l’inventaire d’exploitation montre les classes le plus représentées pour les trois espèces sont celles de 3 à 7 (80 à 129 cm) et d’un diamètre moyen qui varie autour de 89 à 100 cm ; la potentialité économique est approuvée par une proportion élevée des bois de qualité export (98,9%); le nombre total des pieds inventoriés est de 3769 individus (100%) sur l’Assiette Annuel de Coupe (4 757ha) ou d’une densité de 0,8 Tiges/ha, mais seulement 1136 individus abattus (30,14%) ou 0,3 Tiges/ha, prouvant une exploitation sélective des bois ; Limbali est la plus abondante, dominante et plus importante, affirmant notre première hypothèse ; l'analyse de la structure spatiale révèle une agrégation marquée pour les trois espèces, ce qui confirme notre troisième hypothèse et d’un volume moyen brut de 7,583 m3/ha, celui abattu est de 2,404 m3/ha et de la valorisable est de 1,962 m3/ha ; En fin l’Afrormosia a un coefficient de prélèvement, de valorisation et de récolement élevé que les deux autres espèces, ce qui certifie notre deuxième hypothèse.